Après une « pause » de 7 semaines imposée par le confinement lié au Covid19, Grégory DAVEAU, notre architecte, a relancé ce mercredi 29 le dispositif des réunions de chantier hebdomadaires, qu’il avait mis en place depuis le tout début des travaux, afin d’assurer une coordination optimale des différents corps de métiers qui interviennent sur le site. Hommage lui soit rendu pour sa vigilance toute professionnelle : grâce à lui, la coordination est parfaite !
Depuis 15 jours déjà, les chapistes, puis les plâtriers-plaquistes, les électriciens, les plombiers-chauffagistes ont repris le travail sur notre chantier, répartis par corps de métiers sur les différents étages et selon un planning rigoureux pour pouvoir respecter scrupuleusement les précautions sanitaires applicables aux entreprises du bâtiment.
Et ça se voit ! Les travaux avancent à bon rythme : des centaines de mètres de gaines et de fils électriques sont déployés et presque autant de tuyaux de cuivre. A l’extérieur, les travaux de terrassement ont repris : l’entreprise TREMA creuse, décaisse, remblaie, empierre… avant de goudronner un peu plus tard.
Quant à la chambre témoin, objet de toutes les attentions de notre architecte et de notre Président qui en ont fait une priorité avant de lancer la fabrication du mobilier des 37 autres chambres, elle sera finalisée sous huitaine…
C’est ce qu’ont pu découvrir hier les participants à la visite de chantier : Thierry Chapuis, qui a réalisé le mobilier de la chambre témoin, Jean Claude Chandès et Rodolphe Lioutaud qui ont en charge toute la partie électricité, le Président de la Fondation et le Directeur de la maison.
Amélie Amat, notre infirmière coordinatrice, invitée à participer à la visite de la chambre-témoin, a formulé quelques suggestions sur le mobilier ou le positionnement des commandes électriques que seul le regard expert d’une soignante peut percevoir. Les améliorations souhaitées seront apportées sous huitaine, si bien que mercredi prochain nous devrions découvrir une chambre-témoin quasiment parfaite.
Mais, ça c’est pour la prochaine réunion de chantier !