Dès les premières heures de cette matinée du 27 juin, une douce effervescence règne dans toute la maison, et plus particulièrement dans la salle de restaurant, qui surplombe le domaine de la Fondation Paradis et la commune d’Espaly-Saint-Marcel. À l’occasion de la fête du Sacré-Cœur et des Familles, une équipe enthousiaste et efficace s’est mobilisée pour offrir aux Résidentes et Résidents et à leurs familles une journée festive, chaleureuse et pleine de vie.
Cette année, le thème choisi pour la décoration a mis l’Espagne à l’honneur. Ronds de serviettes jaunes et noirs ornés de danseuses de flamenco ou de toros, paella typiquement ibérique… chaque détail a été pensé avec goût, créativité et générosité.
Un grand merci à Christine, Sonia et Patrice pour la coordination de cet événement, avec le soutien précieux de l’ensemble des professionnels de la maison Paradis, sans oublier nos jeunes stagiaires, toujours souriantes, dynamiques et volontaires.
Côté cuisine, nos chefs Vincent, Florent et Edouard, ont mis les petits plats dans les grands, sous la supervision de Romain. Grâce à la brigade Newrest, les convives ont pu savourer un repas raffiné, préparé avec soin et passion.
Au début du repas, le Président Jean-Paul LAVAL a tenu à saluer chaleureusement le travail et l’engagement de tous les professionnels de la maison, présents jour et nuit, ainsi que de toutes celles et ceux qui œuvrent dans l’ombre pour permettre ces instants de bonheur partagé. Il a rappelé que les Résidents demeurent au cœur de notre mission et que « les professionnels sont les mains qui soignent et accompagnent les Résidents et leur apportent chaleur et humanité au quotidien ». « Bravo, Merci, Encore ! » leur a-t-il dit, avant de laisser place au cliquetis des fourchettes… et aux conversations amicales qui se sont poursuivies longtemps dans l’après-midi, à l’abri du soleil sous les grands parasols de l’entrée.
A l’année prochaine donc pour une Fête des Familles aussi joyeuse et aussi gourmande qui vient de se clôturer !
… ce sera le 12 juin 2026 en la Fête du Sacré-Cœur. Mais, chut, c’est trop pour en parler !
Jacques Banet